Le Secret du Faucon – tome 5 de AD Martel
Parution : 15 septembre 2021
Nb de pages : 412
4e de couverture
La bataille finale approche.
Le maître des ombres se révèle et, avec lui, de nouvelles trahisons.
Cyrielle ne peut plus reculer : elle doit choisir. Parviendra-t-elle à museler son coeur pour récupérer le comté ?
Amour, amitié, pouvoir… Jamais la vengeance n’a eu un tel goût de sang.
Le dernier tome de cette saga fantasy médiévale vous promet de nombreuses surprises. Émotions, aventures, combats et magie s’entremêlent pour vous proposer une fin épique !
Alors… Êtes-vous prêt à découvrir LE Secret du Faucon ?
Mon avis
Je vais une nouvelle fois remercier AD Martel pour ce nouveau Service Presse et sa confiance renouvelée.
Vous ne l’avez pas encore découvert, vous hésitez, je vous conseille de lire le préquel qui vous présentera un peu l’univers de cette série 😊.
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Alors que dire sans rien spoiler ? Pas facile, mais je vais essayer de faire quelque chose de court et passer rapidement aux personnages.
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Notre douce et innocente Cyrielle change, et la vengeance risque fort de faire partie intégrante de ses nouveaux projets. Tout comme pour Godefroy, elle est hantée par « ses » morts. La guerre est ouvertement déclarée.
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Personnages :
Tristan refusait de devenir comme Cyrielle. La haine et la vengeance étaient des fléaux dont il ne voulait pas. Même s’il devait souffrir, il continuerait d’être franc, quoi qu’il lui en coûte.
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Cyrielle ignorait ce qui lui était arrivé durant son absence, mais il avait l’air… changé. Plus mûr, plus sûr de lui, là où elle se trouvait parfaitement perdue.
[…] Tristan avait toujours agi selon son cœur et ses valeurs. Au départ, cela les avait rapprochés. Toutefois, Cyrielle avait changé.
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À la suite des derniers événements, les découvertes de Cyrielle sur le Sanguinaire ne cessent de la surprendre, mais cela ne l’empêche pas de continuer de le défier… Leur chemin est-il voué à se séparer, pourrait-il vivre dans l’ombre de la jeune femme ?
Cyrielle entretenait désormais le feu qui brûlait en lui. Et même s’il devait y laisser sa vie, il ferait tout pour elle.
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Baldwin les avait abandonnés alors qu’ils entraient dans le territoire des dianesses pour Beltaine. Jamais il n’avait accordé d’importance à Cyrielle. Au contraire, il sautait sur la moindre occasion pour l’agresser. Même la course destinée à lui prouver sa valeur n’avait servi à rien.
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Lavande est l’amie
Sa fraîcheur et sa bonne humeur la guidaient comme une étoile dans une nuit sombre.
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Amessan est aussi furtif qu’un chat et égale Anselme quand il s’agit de pénétrer dans des bâtiments. Il est d’une grande sagacité et se montre têtu. Quoi que cela lui coûte, il est prêt à protéger Cyrielle et Godefroy.
[…] un seul coup d’œil avait suffi à ce dernier pour tout enregistrer. Le ménestrel possédait cette faculté extraordinaire de tout retenir. De plus, s’il existait bien une personne capable de se faufiler dans les endroits les plus imprenables sans être aperçue, c’était lui.
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À ce jour cette série reste ma préférée de l’autrice. Mais je reste fidèle à toutes ses sorties et attends avec impatience sa prochaine, prévue pour cette fin d’année, très probablement la suite des Larmes de Saël, si elle suit les résultats du sondage présent dans sa newsletter.
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Quelques extraits :
Ne vaut-il pas mieux souffrir d’avoir aimé, que de souffrir de n’avoir jamais aimé ?
Ne vaut-il pas mieux être déçu, plutôt que de vivre sous de faux-semblants ?
Devenir comtesse était désormais une fatalité. Sans compter le choix qu’elle devait faire — et auquel elle ne voulait surtout pas penser —, demander à Godefroy de rester à ses côtés alors qu’elle régnerait sur des terres… Non seulement ses vassaux pourraient se soulever, mais elle arracherait au mercenaire ce qu’elle aimait tant chez lui : sa liberté. Il devait continuer à galoper à travers la campagne et les déserts. Non servir une comtesse.
L’histoire ne retiendrait sans doute que les soldats tombés dans la bataille, jamais les animaux qui avaient vaillamment combattu pour eux. Et pourquoi ? Pour des conflits qui ne les regardaient nullement. Ainsi allait la nature humaine, avide et violente, prête à réduire en esclavage n’importe quel être vivant si cela pouvait lui servir.
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Prix broché : 19,00 €
Crédit Photo : Canva, deviantart.com/anhen, menelwena